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    EBAUCHE INITIALE DE LA LETTRE MANUSCRITE CONCERNANT LA GREVE DE LA FAIM DE FRANCK MESSEGUE A L'AGE DE 24 ANS CONTRE LES COLORANTS ALIMENTAIRES EXPEDIEE A MADAME SIMONE VEIL MINISTRE DE LA SANTE EN 1976, A L'INSTITUT NATIONAL DE LA CONSOMMATION ET A DIVERS JOURNALISTES


     
     
     
    REPONSE DE HENRY ESTINGOY DIRECTEUR DE L'INSTITUT NATIONAL DE LA CONSOMMATION
     
     
     
     
    ARTICLE DE FRANCK MESSEGUE DANS LE N°1 DU PERIODIQUE "LE SAVIEZ - VOUS ? " DE L'UNION DES CONSOMMATEURS DE LA REGION VERSAILLAISE EN JUIN 1976
     
     

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    CE TRACT A ETE DISTRIBUE PAR FRANCK MESSEGUE DEVANT LE PARVIS DE NOTRE-DAME LORS D' UNE GREVE DE LA FAIM DE NEUF JOURS POUR AIDER LE PAPE JEAN-PAUL II A REALISER SON ADMIRABLE PROMESSE DE RENONCER AUX RICHESSES VATICANES ESSENTIELLEMENT INCOMPATIBLES AVEC LA PAROLE
    EMINEMMENT SINCERE - DE SIMPLICITE, D' HUMILITE ET DE CHARITE DICTEE PAR LE CHRIST
     
     
     
     
     
         LUNDI 6 AOUT 1984
     
     
     
    PRINCIPAUX COURRIERS DE FRANCK MESSEGUE A BENOIT XVI POUR LUI REPROCHER SES PRISES DE POSITION CONTRE LA RELIGION MUSULMANE LORS DE SON DISCOURS DE RATISBONNE QUELQUES JOURS PLUTOT LE 15 SEPTEMBRE 2006 .  VOIR : DISCOURS DU PAPE À L’UNIVERSITÉ DE RATISBONNE . ET AFIN QU'IL PUISSE EFFECTIVEMENT EXAUCER LE VOEU AUTHENTIQUE DE JEAN - PAUL II DU 1ER JUIN 1980 A PARIS DEVANT 50 000 JEUNES CROYANTS EN VENDANT - NORMALEMENT - LES RICHESSES VATICANES  DE TOUS LES CATHOLIQUES AU PROFIT DES PAUVRES DE CE MONDE .  VOIR : DIALOGUE DE JEAN-PAUL II AVEC LES JEUNES RÉUNIS AU PARC DES PRINCES 

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      http://www.cns.sante.fr/spip.php?article263

     

       
     
     
     
     
     

    Le dépistage du VIH doit être élargi

    5 juillet 2007 (Quotidien du Médecin)

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    Voir en ligne : Le dépistage du VIH doit être élargi

    Pour diminuer le nombre de diagnostics tardifs, le dépistage du VIH doit être élargi

    Dans un article du « British Medical Journal », des chercheurs français recommandent que le dépistage du VIH soit étendu aux personnes qui, a priori, semblent peu exposées au risque de contamination et que le test soit proposé en routine dans le cadre de consultations médicales.

    APRÈS LE CONSEIL national du sida dans un avis de novembre 2006 et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans des recommandations, en mai dernier, c’est un groupe de chercheurs français qui se prononce en faveur d’un dépistage élargi du VIH. Cyrille Delpierre (unité Inserm 558 Epidémiologie et analyse en santé publique : risques, maladies chroniques et handicaps, Toulouse), Lise Cuzin (hôpital Purpan, Toulouse) et France Lert (unité Inserm 687 Santé publique et épidémiologie des événements professionnels et sociaux de la santé) publient, dans le « British Medical Journal », une analyse de la littérature à l’issue de laquelle ils recommandent que, en plus des orientations actuelles, la population hétérosexuelle soit désormais la cible du dépistage. « Le test de dépistage du VIH doit être proposé en routine par les médecins généralistes et les autres professionnels de santé comme n’importe quel examen de prévention, écrivent-ils. Pour sensibiliser les patients au test, les questions sur la sexualité doivent faire partie de l’examen médical. » De même, « avant de délivrer des préservatifs, les professionnels doivent encourager les patients pour qu’ils informent leurs partenaires sur leur statut sérologique. Ils doivent recommander le test à tous ceux qui ne se sont pas encore fait dépister et à tous ceux qui ont eu de nouveaux partenaires depuis leur précédent test. »

    Les graves conséquences des diagnostics tardifs. Les conclusions des chercheurs en faveur d’un dépistage élargi, proposé en routine dans le cadre de consultations médicales, s’appuient sur les données de surveillance de l’InVS (Institut de veille sanitaire), sur les résultats de l’enquête Kabp (Anrs, ORS) et de l’enquête Vespa (Anrs), ainsi que sur ceux de la cohorte Nadis (plus de 6 000 patients suivis dans six centres universitaires français).

    Il ont pu constater que « plus de la moitié de la population française s’est déjà fait dépister au moins une fois ». En dépit de ce fort taux de dépistage – c’est, après l’Autriche, le taux le plus élevé en Europe –, « 40% des patients diagnostiqués pour la première fois sont déjà au stade de sida ou présentent des taux de CD4 inférieurs à 200/mm3 ». Si l’on considère les 7 000 nouveaux diagnostics enregistrés en 2004, cela signifie que 3 000 patients ont été diagnostiqués à un stade avancé de la maladie. Les conséquences de ces diagnostics tardifs sont graves. Pour les patients eux-mêmes : en France, la mortalité six mois après le diagnostic est seize fois plus importante chez les patients diagnostiqués tardivement que chez ceux pour qui le diagnostic a été porté tôt. Un risque de mortalité élevé qui s’accompagne d’un risque accru de transmission du VIH dans la population générale : les patients qui se savent infectés utilisent plus souvent le préservatif que ceux qui ignorent leur statut sérologique ; une fois le diagnostic établi, les personnes séropositives peuvent avoir accès à un traitement, ce qui réduit le risque de transmission au sein de la population.

    Selon une étude américaine, un dépistage de toutes les personnes qui ignorent leur statut sérologique ferait chuter le nombre annuel de nouvelles infections de 31 %. Si on applique le taux à la France, ce sont 1 290 nouvelles infections qui pourraient être évitées chaque année.

    Améliorer le dispositif. Le dispositif mis en place dans les années 1980 dans notre pays repose sur l’accès volontaire au dépistage, le contrôle systématique des donneurs de sang et de tissus et sur une proposition systématique de test aux femmes enceintes, aux couples avant le mariage et aux prisonniers. Quant aux campagnes d’incitation au dépistage, elles ont jusqu’ici ciblé les groupes les plus exposés. Résultat, le diagnostic est aujourd’hui plus précoce chez les femmes, les homosexuels masculins, les jeunes et les personnes qui ont un nombre élevé de partenaires. En revanche, ceux qui sont les plus concernés par les dépistages tardifs ne sont pas ceux qui sont la cible privilégiée des campagnes d’incitation : les hommes plus âgés, hétérosexuels qui vivent en couple depuis plusieurs années et qui ont des enfants. « Il est urgent que le dispositif de dépistage s’améliore et inclut la population hétérosexuelle à faible risque d’infection mais à risque élevé de diagnostic tardif », concluent les auteurs.

    Dr LYDIA ARCHIMÈDE 
     
     
     
     
     
     
    DÉPISTAGE DU VIH : UNE STRATÉGIE REVUE ET MODIFIÉE
    FOCUS - HAS Actualités & Pratiques - N° 18 - Avril 2010
     
    Voir le rapport complet d' Octobre 2009 : Recommandations en santé publique
     

    La Haute Autorité de Santé publie, au 1eravril, un « focus » sur la nouvelle stratégie de dépistage du VIH en France, par la voix du Dr Olivier Scemama, adjoint au chef du service évaluation économique et santé publique  de la HAS. Combler le retard français, parvenir à un dépistage plus précoce, ne pas ignorer les populations a priori à moindre risque ni les groupes les plus à risque, permettrait de réduire par plus de 10 le nombre de décès liés au sida.

     

    L’Institut de veille sanitaire (InVS) estime  l’incidence de l’infection par le VIH au sein de la population française, soit à 17 cas annuels pour 100.000 personnes, soit près de 7.000 nouveaux cas  par an, en France mais constate une baisse ces dernières années de l’incidence globale de l’infection. Néanmoins 120.000 personnes vivent aujourd’hui avec le VIH et selon le Conseil national du sida, 40 000 personnes infectées par le VIH en France ignorent leur séropositivité.

     

    L’enjeu, réduire le retard au dépistage en France : Si la France est au second rang des États d’Europe de l’Ouest pour le nombre de sérologies VIH, près du tiers des personnes dépistées le sont trop tardivement, alors qu’elles sont déjà au stade sida et/ou que leur niveau de lymphocytes CD4 est inférieur à 200/mm3. Un retard qui « affecte de façon plus particulière les groupes de population qui ne se considèrent pas comme « à risque » », précise le Dr. Scemama.

     

    Un risque de décès multiplié par 13 dans les six premiers mois, en cas de dépistage tardif : Les nouvelles recommandations sur le dépistage du VIH publiées par la HAS préconisent donc de proposer un test à l’ensemble de la population âgée de 15 à 70 ans, une stratégie qui repose en grande partie sur les médecins généralistes qui devront proposer systématiquement le test et sur la possibilité d’effectuer un test de dépistage directement dans les laboratoires d’analyses de biologie médicale, sans prescription.

     

    Les groupes de population à risque aussi : Un dépistage une fois par an aux hommes multipartenaires ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes, aux usagers de drogues injectables ainsi qu’aux personnes originaires d’une zone de haute endémie, comme l’Afrique subsaharienne ou les Caraïbes doit être systématiquement proposé, rappelle la HAS.

    On se souvient  queLe rapport Euro HIV Index 2009, réalisé avec le parrainage de la présidence suédoise de l'UE 2009, ne place la France que 12ème dans un classement qui réunit 29 états, pour sa prise en charge des patients porteurs du VIH, en raison de l’insuffisance d’actions de prévention ciblées sur les groupes de population les plus à risque.

    Plus récemment, l’enquête Prévagay qui avait livré ses premiers résultats en novembre 2009, avait conclu début 2010  à une incidence -c’est-à-dire un taux de contamination- du VIH, 7 fois plus élevée au sein de la population homosexuelle masculine et fréquentant des établissements de convivialité gay parisiens que l’incidence du VIH pour l’ensemble de la population homosexuelle en France (1%).

     
     

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    MADAME DANIÈLE LE ROUX SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU CONSEIL NATIONAL DU SIDA SE DÉCIDE ENFIN À DONNER LE POINT DE VUE DE CETTE INSTITUTION NORMALEMENT PRÉPONDERANTE POUR RÉPONDRE AVEC LE MAXIMUM                        D' OBJECTIVITÉ SUR LA GÉNÉRALISATION DU DÉPISTAGE DU VIH . . . OU PRESQUE ! :
     
    AVEC CE PREMIER RAPPORT CI-DESSOUS SUR LE DÉPISTAGE DU 18 DECEMBRE 1991
     
     

    Voir taille réelle

     

     

    Conseil National du SIDA / Rapport sur le dépistage du VIH du 18 Décembre 1991

    NB : Il faudra attendre très / trop longtemps . . . 15 ans pour qu' un nouveau rapport par cette institution incontournable puisse voir le jour . Voir : Rapport sur l' évolution du dispositif de dépistage de l'infection par le VIH en France du 16 Novembre 2006 

     
     

     
    DONT VOICI LES PRINCIPAUX EXTRAITS RÉVÉLATEURS DE LA NÉCESSITÉ DE LA GÉNÉRALISATION DU DÉPISTAGE DU VIH QUI ONT FONDAMENTALEMENT MOTIVÉS  L' ENGAGEMENT DE FRANCK MESSÉGUÉ POUR CETTE CAUSE VITALE EN MAI 1992 : A SE DEMANDER - POURQUOI - LES AUTORITÉS SANITAIRES CONCERNÉES N' ONT PAS SU RÉAGIR ET AGIR PLUS PRÉCOCEMENT ! ! ! ? ? ? . . . 
     
     
     
     


    CET AUTRE AVIS DE L' ÉPOQUE N' A FAIT QUE RENFORCER LA CONVICTION DU MILITANT SUR LE BIEN-FONDÉ DE SA LUTTE POUR LA GÉNÉRALISATION DU DÉPISTAGE DU VIH
     
     
     

    CETTE LETTRE MANUSCRITE A ÉTÉ ENVOYÉE A MADAME DANIÈLE LE ROUX SECRÉTAIRE GÉNÉRALE DU CONSEIL NATIONAL DU SIDA LORSQUE FRANCK MESSÉGUÉ FUT INTERNÉ MANU MILITARI DANS UN ASILE PSYCHIATRIQUE POUR AVOIR TROP VOULU DÉFENDRE ET PROTÉGER ET SAUVER LES SÉROPOSITFS QUI S' IGNORAIENT ET TOUS CEUX QUI RISQUAIENT DE LE DEVENIR PAR MANQUE DE PRÉVENTION ESSENTIELLE . . . RÉSULTATS : MADAME DANIÈLE            LE ROUX N' INTERVIENDRA  EN AUCUNE FAÇON POUR ESSAYER DE SORTIR LE MILITANT AUTHENTIQUE DE CE GOULAG DÉMOCRATIQUE ET ENCORE MOINS POUR APPORTER A NOTRE SANTÉ PUBLIQUE LES RAISONS VALABLES POUR JUSTIFIER LE REFUS ABERRANT - DU CONSEIL NATIONAL DU SIDA D' OUVRIR UN SIMPLE DÉBAT DÉMOCRATIQUE SUR  LA GÉNÉRALISATION  DU DÉPISTAGE DU VIH TOTALEMENT INCOMPATIBLE AVEC LA MISSION VITALE DE LEURS DIRIGEANTS QU' ILS ONT POURTANT ACCEPTÉE DE LEUR PLEIN GRÉ PAR SOUCI ÉVIDENT D' EFFICACITÉ SALUTAIRE POUR . . . TOUS .

     

     

     
    PENDANT 149 MOIS  - DU 18 DÉCEMBRE 1991 AU 15 MAI 2003 - LE CONSEIL NATIONAL DU SIDA ADMET ICI , SANS VÉRGOGNE , QU' IL N' EST TOUJOURS PAS NÉCESSAIRE . . . POUR EUX !  D' OUVRIR UN NOUVEAU DÉBAT SUR LE DÉPISTAGE ; DE PLUS IL ÉTAIT TOUT A FAIT IMPOSSIBLE - COMME D' HABITUDE - D' OBTENIR UN SIMPLE AVIS SUR LA GÉNÉRALISATION DU DEVOIR D' INFORMATION ET DE PROPOSITION DU TEST DU VIH ( ??? )

     
     
     
     

    UNE DES LETTRES ADRESSÉES AU PROFESSEUR WILLY ROZENBAUM PRÉSIDENT DU CONSEIL NATIONAL DU SIDA AFIN DE L' INCITER - POUR LA ÉNIÈME FOIS - A OUVRIR UN VÉRITABLE ET SPÉCIFIQUE DÉBAT UNIQUEMENT SUR LA GÉNÉRALISATION DU DÉPISTAGE DU VIH : SANS SUITE NI RÉSULTAT RÉELLEMENT EXHAUSTIF . . . COMME À L' ACCOUTUMÉE !  A CROIRE QUE L' AVENIR DE TOUS  LES ACTUELS ET FUTURS CONTAMINÉS N' AURAIT , SEMBLE-T-IL , PAS MÉRITÉ SA COMPLÈTE ET UTILE ET NÉCESSAIRE BIENVEILLANCE .

     



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  • LE QUESTIONNAIRE DES SITUATIONS A RISQUE DU PROFESSEUR

    JEAN - MARIE ANDRIEU

     

    NB : Le questionnaire mentionné ci-dessous - extrait du livre " Comprendre pour Prévenir "du Professeur Jean - Marie ANDRIEU, conçu et publié en 1993 lorsqu' il dirigeait l' Unité de Cancérologie / Hématologie / SIDA à l' hôpital Laënnec à Paris - se présente sous la forme d’un test simple, anonyme, que Franck Mességué souhaiterait voir mis à la libre disposition, après un complètement - si nécessaire - et l' approbation des autorités et des associations, avec des informations ciblées et utiles, dans les salles d’attente des médecins et des centres de dépistage, et remis, dans un geste préventif, par les médecins à leurs patients avec les explications adéquates.  

     

     EVALUEZ VOUS-MEME VOS RISQUES EN TOTALISANT LES POINTS1

     

     

    OUI

    (points)

     

    NON

    (points)

    Avez-vous eu des relations sexuelles dans les 3 dernières années ?

    1

    0

    Si oui, avec combien de partenaires ?

    Un seul ?

    Deux ?

    Trois et plus ?

     

    0

    1

    2

     

    0

    0

    0

    Avez-vous utilisé des préservatifs avec des partenaires nouveaux ou de rencontre ?

     

    0

     

    2

    Votre partenaire régulier/régulière avec qui vous n’utilisez pas de préservatif

    • s’est-il/elle drogué(e) par voie intraveineuse depuis 1980 ?

    • a-t-il/elle été transfusé(e) entre 1980 et 1985 ?

     

     

    5

    5

     

     

    0

    0

    Question pour les hommes seulement :

    Avez-vous eu des relations homosexuelles depuis 1980 ?

     

    6

     

    0

    Question pour les femmes seulement :

    Votre partenaire régulier (avec lequel vous n’utilisez pas de préservatifs) a-t-il eu des relations homosexuelles depuis 1980 ?

     

     

    5

     

     

    0

    Vous êtes-vous drogué(e) par voie intraveineuse depuis 1980 ?

    7

    0

    Avez-vous été transfusé(e) entre 1980 et 1985 ?

    7

    0

    Avez-vous eu des relations sexuelles par voie ano-rectale ?2

    5

    0

     

    RESULTATS DU TEST :

    0 à 2 : votre risque d’avoir été contaminé(e) est nul ou quasi nul. Faites le test pour donner l’exemple !

    3 à 5 : votre risque d’avoir été contaminé est très bas. Vous devriez faire le test, pour être rassuré(e). Utilisez les préservatifs avec des partenaires occasionnels.

    6 : le risque d’avoir été contaminé(e) existe pour vous. Il faut que vous fassiez le test. Si vous êtes séronégatif, ce qui est de loin le plus probable, il est indispensable que vous utilisiez des préservatifs avec tous vos partenaires.

    7 et plus : vous risquez réellement d’avoir été contaminé (e). Il est absolument nécessaire que vous fassiez le test. Si vous êtes séronégatif, faites tout pour interrompre, si vous en avez, vos pratiques à risques.

    ______________________________

    1 Nous invitons le lecteur à faire ce test…

    2 L’ajout de cette dernière question, proposé par Franck, a été approuvé par le Professeur Jean-Marie Andrieu.


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